Financement immobilier à Saint-Benoît : quel prêt choisir ?

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En vue d’un investissement dans la pierre, vous êtes en quête du meilleur financement à solliciter. Les prêts bancaires peuvent être envisagés, mais lequel est le plus avantageux ? 

Le prêt immobilier 

C’est le prêt par excellence à solliciter pour le financement d’un bien immobilier à Saint-Benoît. Il a été conçu pour aider les ménages à devenir propriétaires, mais attention, il n’est pas accordé à tout le monde. Seuls les emprunteurs les plus solvables peuvent aujourd’hui en bénéficier. De nombreux critères d’éligibilité doivent être respectés tels qu’un taux d’endettement inférieur à 35 %, un apport personnel de 10-20 %, un emploi stable…

Les prêts aidés

Avec le durcissement des conditions d’octroi du crédit immobilier, de plus en plus de particuliers peinent à trouver le bon financement pour leur projet immobilier. Heureusement, il existe quelques alternatives avantageuses pouvant être envisagées. Il s’agit des prêts aidés. Les plus connus sont :

  • Le prêt à taux zéro (PTZ)
  • Le prêt d’accession sociale (PAS)
  • Le prêt épargne logement
  • Le prêt conventionné (PC). 

Le prêt hypothécaire

Si vous êtes déjà propriétaire d’un bien immobilier, mais que vous aspirez à agrandir votre patrimoine, vous pouvez demander un prêt hypothécaire. Cela consiste à utiliser votre propriété actuelle en tant que garantie du capital sollicité. Le montant accordé équivaut le plus souvent à 70-80 % de la valeur de la garantie. En cas de mensualités impayées, la banque peut saisir le bien hypothéqué et le mettre en vente pour récupérer son capital avec les intérêts et les frais de mainlevée de l’hypothèque. 

Le crédit relais

Il s’adresse aux propriétaires qui veulent vendre leur bien immobilier pour en acheter un autre. Le bien mettant toutefois à trouver preneur, ils l’utilisent comme garantie afin d’obtenir un capital à investir. Les emprunteurs s’engagent, dans ce cas de figure, à rembourser le capital emprunté en une seule fois, sitôt l’autre bien vendu. Là encore, le capital octroyé est limité à 70-80 % de la valeur du bien mis en gage.